Critiques

Les critiques postées sur différents sites. Je n’ai recensé qu’une critique par lecteur, car certaines personnes ont posté sur plusieurs sites.

Sur les sites de critiques :

Par Yzabel (sur Amazon) :

Un quasi huis-clos prenant à souhait

Cette critique est un peu délicate à écrire, car j’admets avoir une relation toute spéciale avec ce roman, que j’ai connu pour la première fois fin 2006, alors qu’il était encore publié sur internet. Cette version-là était différente de celle que j’ai à présent entre les mains, mais le gros des éléments qui la constituaient, et que j’appréciais à l’époque, est toujours là… et je l’aime toujours autant.

LEO (j’abrégerai le titre de cette manière) est avant tout une histoire de psychologie, sur fond de science-fiction. Si la SF n’est pas votre fort, vous pourrez tout de même apprécier le roman — tout comme les éléments SF qui y sont présents pourront vous plaire si vous êtes un(e) lecteur (lectrice) plus chevronné dans ce domaine. Il est également assez spécial, dans ce sens où il fait véritablement partie d’une saga: vous ne trouverez pas dans ce premier tome une histoire à peu près complète, et dans les suivants d’autres histoires complètes, avec des personnages récurrents d’un volume à l’autre. Au contraire, l’ouvrage soulève peut-être bien plus de questions à la fin qu’il n’apporte de réponses, chose qui peut soit agacer, soit faire trépigner d’impatience – tout dépend de quel type de lecteur vous êtes.

Ce début de saga se déroule principalement en deux lieux et deux époques différentes: Alia en 2340, une planète qui semble être une colonie, et dont les habitants sortent tout juste d’une guerre avec une planète rivale; et la Terre en 2066. Cinq personnages principaux se partagent la vedette: d’un côté Ludméa et Ruan sur Alia, de l’autre les jumeaux Line et Lúka sur Terre; au milieu, Lyen, arrachée à sa famille alors qu’elle n’était qu’une enfant, destinée à ne mettre au monde des bébés que pour mieux se les voir arracher, dans le cadre d’expériences génétiques menées par le père des jumeaux. Tout ce petit monde est lié par bien des secrets, dont certains se dévoilent de façon très subtile, et d’autres sont tout juste esquissés, voués à n’être pleinement révélés que plus tard.

Par ailleurs, tous semblent également partager, que ce soit en tant qu’acteurs ou victimes, un curieux Don, jamais exactement nommé, mais dont les effets se précisent peu à peu – et rarement à de bonnes fins. Ce Don leur permet d’échapper aux conséquences d’actions qui autrement auraient dû leur coûter cher… mais pour combien de temps? Un conseil: faites bien attention aux tout petits détails à ce niveau…

LEO se déroule surtout en huis-clos étouffants (la zone de quarantaine sur Alia, le Laboratoire sur Terre), qui permettent par là même de mettre d’autant mieux en lumière les différentes psychés en présence. Les personnages sont constamment confrontés les uns aux autres en des lieux dont ils ne peuvent s’échapper; ne peuvent échapper ni à eux-mêmes, ni au regard des autres; et si de beaux sentiments parviennent à s’y développer, d’autres, plus noirs, prennent également le pas. Les thèmes abordés traitent en effet de certains aspects assez sombres de la psyché humaine: domination, dissimulation, hypocrisie, couples brisés, lâcheté, voire inceste et meurtres (dans de tels lieux, quoi de surprenant à ce qu’un drame survienne?). Bien qu’ils essayent souvent de se voiler la face, ces mêmes personnages n’y parviennent pas toujours, et les excuses qu’ils se trouvent n’en sonnent que plus faux, ne font que montrer encore plus à quel point ils sont complexes, pleins de défauts autant que de potentiel. C’est pour moi une facette fort appréciable de cet ouvrage qui, en filigrane, les dévoile tels qu’ils sont. Il frappe de plus par moments avec une précision clinique: pas de scènes sanguinolentes gratuites, mais des actions chirurgicales, nettes, précises, à l’impact plus fort de par l’économie de descriptions.

Un autre aspect intéressant que je pense devoir noter: le rôle des femmes dans ce roman. Contrairement à un certain nombre d’ouvrages où les personnages féminins nous sont présentés comme “forts” alors qu’ils sont en fait “bridés”, ici, c’est l’inverse qui semble se passer. Lyen: prisonnière, violentée, violée dans son corps comme dans son esprit. Line: enfermée dans le laboratoire, son frère étant son seul contact avec le monde extérieur. Ludméa: l’intruse, dans un centre de recherches empli de militaires aussi bien que dans une relation qui autrement aurait été censée bien se passer. Ylana: belle, intelligente, génie de la microbiologie, mais exhibée comme une sorte de trophée. Et pourtant, on se rend compte au fil de l’histoire que ces femmes à première vue “simplistes” sont peut-être bien vouées à être les plus fortes, celles qui contrôlent tout en arrière-plan, celles par qui les véritables changements et révélations surviendront… avec tous les chamboulements que cela implique.

Si ces thèmes quelque peu crus vous rebutent, si vous préférez des histoires riches en scènes d’actions, ou encore de la science-fiction de type hard science, LEO ne vous conviendra sans doute pas. Par contre, si les paradoxes temporels, les histoires d’amour tordues, les manipulations génétiques et/ou virales, ou encore les pouvoirs étranges vous intéressent, dans ce cas, il n’y a pas à hésiter.

 

Par Elyra (sur Amazon) :

J’ai adoré !

Ce livre est fantastique, très prenant. Une fois commencé on le dévore, on ne le quitte plus, suivant chaque personnage, essayant de rassembler les indices pour dénouer les noeuds de l’intrigue. On s’accroche, on espère … et arrivés à la dernière page, on attend fébrilement la sortie du tomme suivant. Un livre que je recommande à 500 % !!!

 

Par Laurence (sur Amazon) :

Une super découverte

Je recommande ce livre à tous les fans de lecture, c’est vraiment un bon moment d’assuré, on rentre dans l’histoire, s’attache aux personnages et on ne peut plus le lacher.
Un gros coup de coeur et je dirai qu’une chose, vivement la suite…

 

Par Collin (sur Amazon) :

Si vous aimez les saga et la science-fiction, cette oeuvre est faite pour vous !

Bonjour à Tous !

Fan de science-fiction de puis mon plus jeune âge, plus récemment devenue accro aux sagas, c’est en recherchant un combiné de ces deux « thématiques » que j’ai découvert Les Enfants de l’Ô …

Une oeuvre qui a été à la hauteur des mes espérances, sinon plus. Découverte par hasard en tapant les mots « saga, science-fiction » sur un moteur de recherche bien connu de tous, je remercie encore ce dernier de m’avoir permis de découvrir, par un beau jour d’hiver, le travail de Ness … En effet, totalement captivée par cette histoire, je l’ai dévorée bien plus vite que l’auteur ne la publiait. Dès qu’on se plonge dans le récit, on est totalement happés dans l’histoire et on ne peut plus décrocher de son bouquin, pressés de savoir comment les personnages se sortiront des mauvais pas dans lesquels ils se retrouvent, ou quelle sera la suite de leurs péripéties. Construite un peu comme une série, à mon sens, l’histoire vous tient en haleine ; d’autant que, et c’est là que je retrouve un point commun avec les séries télévisées, l’auteur sait passer d’une scène à une autre au point d’orgue, de telle sorte qu’on a tellement hâte de savoir ce qui s’est produit pour le personnage qu’on serait tentés de sauter quelques pages pour aller voir ce qui lui « tombe sur le coin du nez » à la fin, quitte à revenir un peu en arrière par la suite pour reprendre le fil de l’histoire.

Bref, il n’y a pas de mots pour décrire cette histoire hors du commun, moi elle me rappelle un peu « l’antithèse de la saga Les Enfants de la Terre » (de J. M. Auel) : antithèse dans le sens où cette histoire se passe dans un futur lointain (à l’opposé des Enfants de la Terre qui se passe à la préhistoire), mais le parallèle se retrouve dans des personnages attachants, une histoire solide et un récit riche et fourni.

Je concluerai en vous disant que si vous êtes ici, c’est que vous manifestez déjà un intérêt certain pour ce livre, alors n’hésitez plus et lancez-vous !

Et si vous avez encore un doute, 3,50€ pour aider un jeune auteur à se lancer (et une histoire qui vous séduira, j’en suis sûre), ça n’est pas la ruine et ça mettra toujours une bonne action de plus à votre quota de cette année !

 

Par Lucius (sur Amazon) :

On l’attendait depuis dix ans

Les enfants de l’Ô est un roman fleuve (quelques milliers de pages) qu’on a pu lire sur le net tout au long de ces dix dernières années. Travail titanesque de Vanessa du Frat. Roman passionnant dont on attendait impatiemment la suite (et encore aujourd’hui, car la saga n’est pas terminée).
Voilà enfin que Vanessa du Frat se décide à éditer le tome 1 en version papier ! Et la version électronique suit à quelques jours d’intervalle. Pour le bonheur de ses fans.

 

Par L’être anonyme (sur Amazon) :

Enfin !

J’ai eu la chance de lire la version de LEO 1.0 (jusqu’au T4) et j’avais beaucoup aimé. Il n’était pas parti gagnant sur le papier, car pas du tout mon style de lecture habituel. Pourtant, je me suis fait happer par le Don sans pouvoir m’arrêter.
Alors que dire de la version 2.0, preparez votre sac car vous n’êtes pas prêt d’en sortir.

 

Par Roland Maurer (sur Amazon) :

Une étude fouillée des personnages

J’ai suivi les différentes versions de cette saga depuis plusieurs années, alors qu’elle était publiée sur internet. La version aboutie, et en quelque sorte officielle, qui est maintenant publiée ici sur Amazon — et en version papier auto-éditée (une version papier d’une qualité magnifique, soit dit en passant) — représente donc des années de peaufinage. Eh bien, le résultat est à la hauteur de l’effort que l’auteur y a investi.

Je n’avais jamais lu, évidemment, cette version-ci, et j’y découvre une cohérence et un rythme vraiment excellents. Vanessa du Frat explore la psychologie de ses personnages avec beaucoup de maîtrise; le moins qu’on puisse dire est qu’elle n’écrit pas à la légère. Le résultat pourrait être artificiel, mais en fait il est enlevé et par moment franchement brillant.

Le contexte de science-fiction, sans n’être qu’un prétexte, est suffisamment peu envahissant pour ne pas décourager même les lecteurs peu sensibles à cette forme de littérature. De la même manière que dans « Moby Dick » la pêche à la baleine n’est pas centrale mais crée la mise en scène nécessaire à l’interaction des personnages, ainsi « Les Enfants de l’Ô » utilise la science-fiction comme outil pour mettre les personnages dans des situations de conflit psychologique. J’ai une préférence personnelle pour un des personnages (non, je ne le nommerai pas, mais vous devinerez facilement si vous lisez le roman), qui ne pourrait exister que dans une oeuvre de science-fiction, mais dont l’intérêt provient surtout des troubles que sa nature particulière crée dans son esprit (mon Dieu, comme je n’aimerais pas être elle!).

Peut-être est-il aussi utile de préciser que l’auteur non seulement n’écrit pas à la légère quand il s’agit de la psychologie de ses personnages, mais encore que, biologiste elle-même, elle s’est beaucoup documentée pour que son monde de science-fiction soit aussi réaliste que possible. Oui, il est possible çà et là d’apprendre des faits scientifiques réels, cités un peu entre les lignes et sans pédanterie, en lisant cet ouvrage.

En résumé, à ce prix-là, vous avez un petit trésor…

 

Par Marjorie (sur Amazon) :

Emportée par l’histoire

On est littéralement porté dans ce monde où se mêlent amour, jalousie, haine, compassion, … Les personnages sont tellement bien décrits que l’on n’a aucune peine à se sentir soi-même un personnage de cette histoire, vivant le désir de Ludméa d’un côté, la peur et le sentiment d’impuissance de Lyen, l’ambivalence de la personnalité de Luka, …
Je n’en suis même pas à la moitié que j’ai hâte de lire les autres tomes qui, j’espère, sortira très bientôt! Moi qui n’aime pas la science-fiction, je suis emportée par cette histoire ! Je vous conseille vivement ce livre!

 

Par Laurence66 (sur Livraddict) :

Une belle découverte et un gros coup de coeur. Une fois plongée dans l’univers des Enfants de l’Ô, on est complètement happée par l’histoire et les personnages, on en redemande à chaque page, que du Bonheur… A lire sans modération

 

Par Jean-Christophe Heckers (sur Livraddict) :

Roman à ne surtout pas ouvrir: on ne le quitte pas avant d’avoir atteint la fin (ce qui est nuisible au sommeil, aux relations [extra-]conjugales, à l’appétit…). Cette fresque complexe n’est pas que de la science-fiction, les rétifs au genre devraient se laisser tenter – au moins une fois -, ils découvriraient une plume de grand talent.

 

Par Gesenn (sur Livraddict) :

Un super roman qui m’a vraiment tenu en haleine. J’ai surtout apprécié, l’authenticité des personnages et le soin apporté à leur aspect psychologique. On entre facilement en empathie avec eux et on prend plaisir à découvrir leur histoire et à imaginer plein de théories. Touchant, drôle, mystérieux, tragique et captivant… toute la palette des émotions y passe. Vivement le tome 2!!!

 

Par Betsabeth (sur Livraddict) :

On ne peux qu’aimer !!! Même si la science fiction n’est pas votre passion, vous aimerez les personnages, l’histoire et le talents de l’écrivain ! Tellement captivant qu’on ne peut pas faire autrement que de dévorer le livre, avec une seule envie : pour quand le 2ème tome ?

 

Par Lilli_Doll (sur Livraddict) :

Ce roman n’a pas ces petits défauts qui rendent une histoire trop farfelue voire incompréhensible, il présente des personnages très humains, touchants. En le lisant, j’ai énormément rit, j’ai pleuré sur des passages qui m’ont remué, j’ai ressenti beaucoup de choses sur lesquelles on ne met pas de mot. Magnifique, juste magnifique. Et tellement prenant…

 

Par NoobyBooby (sur Livraddict) :

Après avoir lu la version net, on attendait qu’une chose, la version papier. Et bien, rien à dire, Vanessa nous offre une histoire prenante, j’étais obligée de le lire h24. En plus un très beau livre, une belle présentation, une bonne histoire intéressante, on a envie d’avoir la suite !

 

Sur les blogs :

Critique sur le blog SFFF Francophone de Cécile Duquenne

Critique sur le blog Le souffle numérique de Pierrick Messien

Critique sur le blog Onirography de Rozenn Illiano

Critique sur le blog la Chaumière des Mots de Sabine Barbier

 

Critiques radio ou vidéo :

Review vidéo par Flora Seyres

Chronique radio par Krystel Jacob